
Rupture, 2016
Installation (peinture à l’huile, pastel, graphite, encre,
acrylique , tissu)
3054 x 66,5 cm
Installation (peinture à l’huile, pastel, graphite, encre,
acrylique , tissu)
3054 x 66,5 cm
Le processus de travail de Rupture est le suivant, je suis parti d'un souvenir qui a été ravivé récemment.
Le souvenir en question est celui d'un film de 1971, Goodbye Uncle Tom, un mondo, film documentaire dirigé par Gualtiero Jacopetti et Franco Prosperi.
Basé sur des faits réels, les réalisateurs nous montrent essentiellement l'atrocité de l'esclavage et un racisme ambiant
certain.
Rupture nous plonge dans un ensemble d'images mémorielles usant de codes et symboles caribéens, égyptiens et plus largement africains. Il est bien question de souvenir mais de manière plus profonde, le souvenir de cette terre que je ne connais qu'à travers l'autre.
The process for Rupture is as follows: I start from a memory that was revived recently. The memory in question comes from a 1971 film, Goodbye Uncle Tom, a mondo, documentary film directed by Gualtiero Jacopetti and Franco Prosperi. Based on real facts, the filmmakers are mainly showing us the atrocity of slavery and an evident ambient racism. Rupture plunges us into a set of memorial images using Caribbean, Egyptian, and more widely African, codes and symbols. It is a question of memory but more deeply, the memory of a land that I know only through the other.
Le souvenir en question est celui d'un film de 1971, Goodbye Uncle Tom, un mondo, film documentaire dirigé par Gualtiero Jacopetti et Franco Prosperi.
Basé sur des faits réels, les réalisateurs nous montrent essentiellement l'atrocité de l'esclavage et un racisme ambiant
certain.
Rupture nous plonge dans un ensemble d'images mémorielles usant de codes et symboles caribéens, égyptiens et plus largement africains. Il est bien question de souvenir mais de manière plus profonde, le souvenir de cette terre que je ne connais qu'à travers l'autre.
The process for Rupture is as follows: I start from a memory that was revived recently. The memory in question comes from a 1971 film, Goodbye Uncle Tom, a mondo, documentary film directed by Gualtiero Jacopetti and Franco Prosperi. Based on real facts, the filmmakers are mainly showing us the atrocity of slavery and an evident ambient racism. Rupture plunges us into a set of memorial images using Caribbean, Egyptian, and more widely African, codes and symbols. It is a question of memory but more deeply, the memory of a land that I know only through the other.